Il s’ouvre à tout ce qui peut l’émerveiller

 

Il sépare la crinière du cheval sauvage

Qui empêche de regarder droit devant

Ce que sera l’avenir du bipède humain

Et de sa terrestre demeure

 

La grue blanche déploie ses ailes

Afin que le poète puisse prendre

Tout son envol vers ces horizons

Inexplorés de l’âme humaine

 

Brosser les genoux de tout ce peuple

Qui accepte trop facilement les conneries

De ces autres frères censés les guider

Dans les dédales des constructions humaines

 

Jouer du pipa dans les moments de folie

Pour apaiser les soubresauts de son âme

Pour ignorer les turbulences éphémères

Et retrouver le peu d’espoir qui lui reste

 

Repousser le singe avec toutes ces grimaces

Qui te font accroire aux fumisteries déguisées

Sous les apparences de la loi et de l’ordre

Retrouver le véritable équilibre intérieur

Zone de Texte: La petite forme du poète (1 à 6)
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