La belle Olinda Avec ses sept collines Elle fait sa belle face à Recife Dans le soleil matinal brésilien
J’ai visité ton ancien marché aux esclaves Jadis on marchandait les humains Mais dans les champs de canne à sucre Je vis ces Nordestinos mourir à la tâche
Olinda si belle Si laide la misère humaine Ce gouffre qui sépare le riche et le pauvre Même Lula peine à le combler
Olinda et sa joie de vivre J’ai marché dans tes rues l’âme triste Mais les éclats de rire das criancas Me font espérer contre toute espérance Espero que um dia vou gritar minha alegria |
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