Les chauds rayons du soleil font reluire leurs peaux blanches Longtemps cachées dans leurs intérieurs surchauffés Les femmes pascales sont subjuguées par ce soleil ardent Lui ne demande pas mieux tant elles crient leurs joies retrouvées
Vêtues de petites robes jaunes ou fleuries Elles se dandinent dans l'air pur du printemps Même leurs jolies poitrines s'offrent aux regards ébahis Que dire de leurs menues jambes qui dansent dans les allées
Ah! ces femmes pascales d'hier Comme elles me font rêver! Elles qui me font sortir de ma torpeur hivernale Qu’aurait été le Pâques d’antan sans ces beautés enivrantes? |
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