Si la mort est où trouverais-je une consolation à la perspective d’un tel destin
Si une larme coule signe de mon impuissance où puiserais-je la force d’affronter pareille issue
Pourquoi ce silence Pourquoi cette tristesse Lentement la toile se tisse Comment éviter la douleur
Si au moins on m’offrait un carrefour Si on moins je pouvais choisir Pas de sursis pas d’alternative Pas de chômage pour les aiguilles du temps
Je vois bien sur mon corps Les affres du temps qui passe Comment happer ce qui m’échappe Je suis pris dans une telle écharpe
Saurais-je trouver près de la mer Saurais-je trouver les pieds dans le sable Un soleil qui éclaire mon monde intérieur Saurais-je un jour le pourquoi du passage
Ces êtres dans ma vie Cette petite planète Ces mers, ces montagnes Ces plaines, ces forêts Cet infini secret des choses
Le vent de lointains rivages Me chuchotera un probable secret |
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