Quelques décennies dans mes mémoires Souvenirs certains du relief de tes hanches Plus beau que tous les reliefs appalachiens Vents des hauteurs que tout déhanche
Ces hanches comme des fougères À l’ombre de mes regards espiègles Où jonglent ces divines idées lubriques D’un cœur esseulé en quête d’ivresse
Les senteurs des boisés appalachiens Affolent mon odorat taquiné à outrance Tes hanches me pulsent des transes Mes errances convergent vers ce relief
Le butor du Lac à Busque me sort de cette rêverie La clocher de la petite église esquisse un sourire Pendant que mes mains sur tes hanches frémissent Un sublime lien amoureux s’installe paisiblement |
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