Que vienne le printemps Que j’admire ta tulipe secrète Que vienne l’été Que je trace un sillon Sur tes côtes Sur tes courbes
Que ma bouche humidifie Le moindre recoin La moindre surface De ton corps majestueux Que mes baisers Soient un remède À toutes nos sécheresses passées
Tu es mon jardin sauvage Je suis ton jardinier Mes doigts s’agitent Dans tes herbes accueillantes Mes narines hument Le doux parfum de tes mystères Ta beauté est incomparable Tu es la fleur la plus sublime Je laisserai toujours La barrière ouverte Trop pressé que je suis À te cueillir
Je respire ta fragrance En moi monte le désir Ô ma fleur ô mon amour Tu seras toujours ma bien-aimée |
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